Histoires

Les membres de la Coalition humanitaire s'occupent des besoins essentiels et aident les gens à reconstruire leur vie lorsque leurs maisons, leurs écoles et leurs moyens de subsistance sont dévastés par une catastrophe. Apprenez-en davantage sur ces crises et rencontrez des personnes qui ont bénéficié de votre soutien.

Après l’ouragan qui a frappé le Nicaragua à la mi-novembre 2020, Yodelsi Alfonso Lagos n’est pas parvenue à retrouver sa maison.
Le voisin de Thảo a péri noyé dans la montée des eaux. Mais heureusement Thảo, sa femme, ses deux enfants et sa mère ont rejoint un abri temporaire juste à temps.
Lorsqu'une explosion survenue le 4 août 2020 dans le port de Beyrouth, au Liban, a dévasté la ville et ses environs, les organisations membres de la Coalition humanitaire ont réagi immédiatement. Ce rapport fait état de cette réponse.

Le conjoint d’Ahlam touche un salaire d’un million par mois, mais… en livres libanaises. En réalité, cette somme ne représente qu’environ 57 dollars CAD.

Cette mère de deux enfants de Bourj Hammoud, un quartier de Beyrouth, explique que « ça fait environ six mois, sinon plus, que nous n’avons pas mangé de viande. Nous ne pouvons pas nous permettre d’en acheter, car c’est trop cher ».

« Mes enfants ne sont pas allés au lit le ventre vide depuis un mois. Je ne peux dire à quel point tout ce que ça signifie pour moi.

Lorsqu’une énorme explosion secoue le port de Beyrouth en août 2020, des images de la guerre en Syrie remontent immédiatement à l’esprit de Fatima.

Grâce à des bons alimentaires, Alice Harant Gobanian, une veuve de 65 ans du Liban, peut maintenant acheter des aliments nourrissants pour sa famille.

L’une des filles d’Alice et sept petits enfants vivent avec elle dans un petit appartement de trois pièces à Nabaa, un quartier de Beyrouth.

« Tout a disparu! Venez à Beyrouth immédiatement. Un désastre s’est produit! »

C’est le message que Christine Codsi a reçu au sujet de l'impact dévastateur de l’explosion à Beyrouth sur son commerce.

Comme bien des personnes au Liban, Darwich est un travailleur manuel en quête de travail sur une base quotidienne. Cela veut dire que ses revenus sont irréguliers : s’il n’y a pas de travail, il n’y a pas d’argent.

Les enfants d'Amal pleuraient souvent et son mari devait se reposer à la maison.
En septembre 2020, de fortes pluies ont inondé des communautés à travers l’État du Kordofan de l’Ouest au Soudan. Près de 100 personnes ont perdu la vie et des centaines de milliers ont été déplacées.
Des propos qui rejoignent ceux de nos collègues se font entendre à travers le pays de la part de centaines de milliers d’Indo-Canadiens qui portent le fardeau d’attendre des nouvelles d’amis et de membres de leur famille en Inde.