Histoires

Les membres de la Coalition humanitaire s'occupent des besoins essentiels et aident les gens à reconstruire leur vie lorsque leurs maisons, leurs écoles et leurs moyens de subsistance sont dévastés par une catastrophe. Apprenez-en davantage sur ces crises et rencontrez des personnes qui ont bénéficié de votre soutien.

Loubna et sa famille sont arrivés au Liban en tant que réfugiés et ont loué un petit appartement dans la Bekaa. Loubna a trouvé un emploi de concierge dans un magasin de vêtements ce qui lui a permis de subvenir, en tant mère monoparentale, à ses besoins et ceux de ses deux filles.
Dina et sa famille vivent en Syrie. Après dix ans de cet interminable conflit dans le pays, plus de 11 millions de personnes ont besoin d’aide humanitaire.
À l’âge de 26 ans, elle était fière propriétaire d’un salon de beauté. Mais après l’explosion son local a été détruit — les fenêtres éclatées, les murs en miettes et les équipements endommagés.
Hanaa Moubarak vivait dans le quartier Karantina avec son mari et trois jeunes enfants lorsque l’explosion a chamboulé sa vie. Depuis, les membres de la famille essaient de se remettre sur pied.
Samira, veuve de 74 ans d’une ville en périphérie de Beyrouth, travaille à la buanderie d’un hôpital près de chez elle. Elle gagne 57 $ par mois. Samira habite dans un petit appartement qui appartient à des membres de sa famille. Elle vit seule. Son mari est décédé il y a vingt ans et ils n’ont pas eu d’enfants.
Le cyclone dévastateur qui a balayé l’Afrique australe en mars 2019 n’a fait qu’envenimer les choses. L’inondation provoquée par de forts vents et des pluies diluviennes a contaminé les puits et détruit les latrines des ménages.
La blessure s’est avérée être une fracture de la cheville, ce qui lui a coûté son emploi dans la rénovation domiciliaire et par conséquent sa capacité de subvenir aux besoins de sa famille.
Tous les membres de sa famille ont subi des blessures mineures dans la déflagration. Ses fenêtres ont été pulvérisées et ses portes, réduites en morceaux. Son tuk-tuk a été endommagé et par conséquent, sa source de revenu s’est envolée.
L’explosion qui a ébranlé la ville de Beyrouth le 4 août 2020 a endommagé sa maison et Randa n’avait pas les moyens de la faire réparer. Avec ses proches, elle a dû ensuite vivre sans électricité ni cuisine fonctionnelle.
Avec le soutien de la Coalition humanitaire, Aide à l’enfance avait établi plusieurs cliniques mobiles dans des tentes dans le camp afin de fournir des soins de santé de base et un soutien nutritif aux résidents.
Ahmed et sa famille ont tout perdu – photos, vêtements, souvenirs – quand ils ont été forcés de quitter leur maison pour fuir les bombardements. Ils n’ont emporté que quelques sacs qu’ils pouvaient porter sur leurs épaules et se sont réfugiés à Damas. Ce fut difficile pour sa femme et leurs trois enfants.
Le commerce d’Avo a été complètement détruit par l’explosion. Les vitres ont éclaté, et le plafond, les étagères et les produits ont été endommagés. Avo n’avait pas les moyens nécessaires pour remettre son entreprise sur pied.