Les membres de la Coalition humanitaire s'occupent des besoins essentiels et aident les gens à reconstruire leur vie lorsque leurs maisons, leurs écoles et leurs moyens de subsistance sont dévastés par une catastrophe. Apprenez-en davantage sur ces crises et rencontrez des personnes qui ont bénéficié de votre soutien.
« J’ai traversé différents conflits au Liban, mais ce qui nous est arrivé avec cette explosion est encore plus grave », confie Walid Chandin AL-Sa’id.
AL-Sa’id, âgé de 55 ans, est marié et père de deux enfants, un fils de six ans et une fille de quatre ans. Sa famille vit dans le quartier de Karantina, à Beyrouth, au Liban.
Toute la famille a été traumatisée en plus d’être blessée dans l’explosion. Al-Sa’id se rappelle avoir eu un éclat de verre fiché dans la jambe sans ressentir de douleur tellement il ne pensait qu’à ses enfants.
En avril 2020, un cyclone tropical de catégorie 5 a dévasté la province de Penama au Vanuatu. Les lignes électriques sont tombées, les arbres ont été déracinés, les toitures arrachées, les maisons et les potagers détruits et les routes, emportées.
Le 31 mai 2020, Reina Isabel et sa famille ont connu un réveil brutal au beau milieu de la nuit en raison de la tempête tropicale Amanda.
Je m’appelle Hagop. Je suis âgé de 90 ans. Je suis d’origine libanaise et arménienne et j’étais auparavant administrateur professionnel. Je vis avec ma sœur de 80 ans Anaheed, jadis créatrice de vêtements, dans un appartement près du port que nous louons depuis des années.
En 2020, grâce au soutien du Gouvernement du Canada et de généreux Canadiens et Canadiennes, la Coalition humanitaire est intervenue dans 14 urgences humanitaires à travers le monde.
Garry et Kate Mayhew nettoyaient la cuisine dans leur appartement de Beyrouth, au Liban, après avoir soupé quand ils ont senti le sol trembler sous leurs pieds.
Abdullah est âgé de 43 ans et père de sept enfants. Lorsque sa maison de Kuma, dans le Nord-Darfour au Soudan, a été détruite par l’inondation, Abdullah, sa femme et ses enfants ont survécu mais ils ont tout perdu.
Beor Jan était allée chercher du bois de chauffage lorsque le tremblement de terre est survenu.
Serine Ouadis Toulough est femme au foyer et mère de deux enfants. Elle vit à Beyrouth avec son époux, à moins d’un kilomètre de l’épicentre de l’explosion du 4 août 2020. Leur quartier est considéré comme l’une des zones de Beyrouth ayant subi le plus de dommages et de destruction.
Le 4 août, C. rentre à la maison à pied après la fin de son quart de travail à l’hôtel. Elle vit dans un petit studio dans le quartier de Karentina-Mdawar à Beyrouth, au Liban. Elle avait à peine franchi les portes de l’établissement lorsque l’événement s’est produit. Son appartement était à moins d’un kilomètre de l’explosion qui a soufflé une partie de la ville.
Hayat, 65 ans, vit à Ashrafieh, un quartier situé dans l’est de la ville de Beyrouth. Pendant la longue guerre civile qui a déchiré le Liban, elle a vécu avec sa fille Nancy et son fils Shadi. À l’âge de deux ans, Shadi a perdu l’audition et la parole, par suite de l’explosion d’une bombe à proximité de leur maison.